Bâtissez votre ville et mettez-y du cœur !
Cherchez les bonnes tactiques pour gérer vos revenus, faire venir des habitants et les rendre heureux. Créez un petit paradis plus attirant que les villes adverses !
Happy City
Âge : à partir de 10 ansDe 2 à 5 joueurs
Auteur : Airu & Toshiki Sato
Illustrateur : Makoto Takami
19,00€
Description
La stratégie du bonheur !
Bâtissez votre petite ville, carte après carte, en gérant vos revenus, pour faire venir des habitants et les rendre heureux. Choisissez chaque bâtiment avec soin et gardez un œil sur vos adversaires ! Trouvez la bonne tactique pour créer un endroit où il fait bon vivre.
2 modes de jeu :
• pour les familles (18 bâtiments spéciaux uniques)
• pour les experts avec plus d’interactions et de nouvelles stratégies ! 38 bâtiments spéciaux uniques entrainant chacun des façons de jouer différentes !
Jouez gratuitement sur le site BoardGameArena
Des questions sur le jeu ? Voici la Happy FAQ !
Informations complémentaires
| Poids | 320 g |
|---|
Airu & Toshiki Sato
Toshiki, fan du jeu Acquire, est ingénieur système à Kawasaki. Quand sa fille Airu avait 8 ans, elle a listé ses lieux favoris : combini, fleuriste, pâtisserie, librairie, restaurant de brochettes, école, bibliothèque... et a commencé à les dessiner. Le lendemain, le père et sa fille testaient le prototype qui devait devenir Happy City, nom inspiré par le slogan du maire de Kawasaki : "Construisons ensemble, la ville la plus heureuse".
Makoto Takami
Makoto, après 10 ans dans une entreprise de design, enseigne aujourd'hui l'art du manga et de l’illustration à Okayama. Il illustre aussi pour des publicités et des jeux de société. C'est lors d'une course en montagne, en observant la ville comme miniature une fois arrivé au sommet, qu'il a été inspiré pour les illustrations d'Happy City.
- « Voisins » signifie l’adversaire assis à sa droite et l’adversaire assis à sa gauche. À 4 et 5 joueurs, on a plus d’adversaires que de voisins.
- Le mot « Revenu » implique tous les effets avec le symbole “pièce jaune + flèche noire” (comme le Billard, le Barbier, etc.), mais pas la Salle de jeux d’arcade ni Le Louvre.
La comparaison avec les revenus adverses se fait en tenant compte des effets des autres bâtiments spéciaux.
Seule la somme réellement dépensée est prise en compte. Les réductions (Gare, Port, Aéroport, Hotdog Shop et Tunnel sous-marin) ne profitent pas au Château.
« Effet » signifie l’ensemble des revenus et des symboles Coeur et/ou Habitant.
Exemple : si ce bâtiment spécial est la 9e carte d’une ville, il copie la 9e carte de la ville d’un voisin.
On peut défausser la carte ayant servi à remplir les conditions de ce bâtiment spécial (3e carte bleue).
- Les pièces supplémentaires gagnées ne font pas partie du revenu.
- L’adversaire n’est pas forcément le même pour les 2 tours.
- Le revenu du Barbier inclut le “3 de revenu” (si le Barbier le perçoit).
- Si l’on ne veut pas copier de bâtiment spécial adverse, alors on doit en copier un au hasard (et on ne le connait pas avant de le piocher).
- Seul l’effet du côté du nom du bâtiment spécial est copié et on le prend en compte comme s’il était posé devant soi.
La comparaison avec les revenus totaux des voisins se fait au moment du décompte de points de fin de partie et en tenant compte des effets des bâtiments spéciaux (Escape room, Barbier, Marché bio, Boulangerie…).
On prend en compte les cœurs/habitants barrés.
Exemple : 4 Coeurs + 4 Habitants – 1 Habitant (Maison hantée) = +3 revenus
- Rapporte immédiatement 2 fois son revenu (puis n’empêche pas de toucher son revenu normalement à la phase de revenus).
- En fin de partie, si le revenu de la ville est de 7 par exemple, on retire 7 points au résultat de la multiplication Coeur X Habitant.
- « Argent » signifie au moins une pièce.
- Ces 2 pièces ne font pas partie du revenu.
- On peut gagner ces 2 pièces au dernier tour, juste avant le décompte des points (l’argent départage en cas d’égalité).
